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Nouvelles gélules

Notre dernière production de CYCLEDOUX et MENOAIDE, est faite avec de nouvelles gélules, à base de pullulan.

Qu’est-ce que le pullulan ?

C’est un polysaccharide, soit une chaîne constituée de nombreuses unités d’oses. Issu de la fermentation d’un végétal, il est dépourvu de toute substance chimique.
Sa texture permet de l’utiliser comme agent d’enrobage.
Un intérêt supplémentaire que présente le pullulan, est de constituer une barrière très appréciable vis-à-vis de l’oxygène. Le contenu de la gélule est ainsi avantageusement préservé du phénomène d’oxydation.
Le pullulan est classé GRAS (Generally Recognized As Safe), soit non toxique, par le FDA (Food And Drug Administration).
La gélule de pullulan, est actuellement une gélule végétale reconnue au niveau mondial, et répondant aux plus hautes exigences.

INTIME ORGANIQUE PARIS a pour vocation, la recherche du meilleur, pour le bien-être des consommatrices.

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L’alchémille

L’alchémille. Achemilla vulgaris

Les noms vernaculaires donnés aux plantes, représentent un outil intéressant d’approche du végétal. Aspect, propriétés, utilisations, sont ainsi souvent implicitement évoqués.
L’alchémille et les alchimistes du moyen-âge ? Ces chercheurs « particuliers », aimaient à recueillir la rosée du matin perlant sur la feuille de l’alchémille, et la considéraient comme une eau précieuse, encore appelée rosée céleste, indispensable dans la recherche de réalisation de la pierre philosophale ! Le nom, alchémille, a été attribué à la plante, au regard de l’attention portée par cette corporation à ce végétal.
Manteau de Notre Dame est un autre nom vernaculaire de l’alchémille. Depuis très longtemps et de façon empirique, les médecins ont eu l’intuition de l’intérêt de cette plante pour le système génital féminin. Résoudre un problème de stérilité, agir sur les menstrues, ou rendre la virginité ; l’alchémille est devenue durant des siècles une plante importante pour la femme, voire la plante de la femme.
L’ère moderne a mis en évidence les nombreux constituants présents, et a permis une validation de ses propriétés.
Ainsi la composition chimique révèle une présence importante de tanins, caractéristique des Rosacées, côtoyant de nombreux flavonoïdes.
Des travaux scientifiques ont confirmé l’utilisation traditionnelle. Ses propriétés sont maintenant décrites avec précision et son activité régulatrice de la progestérone validée.
L’alchémille est donc actuellement considérée comme une plante utile dans la régulation hormonale.
Nous la retrouvons dans nos deux produits CYCLEDOUX et MENOAIDE.

alchémille

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Préménopause, Périménopause, Ménopause ?

Dans les grandes phases de changement autour de la cinquantaine, il est souvent difficile pour une femme d’évaluer avec précision, son statut hormonal, la production des hormones de ces périodes étant particulièrement soumise à variations.

ARTICLE MAI 2019

Pour bon nombre de personnes, l’évolution du statut hormonal de la femme, avec ce passage d’une période d’activité génitale qui dure quelques décennies, à une modification progressive des cycles, puis à une disparition définitive de règles, s’exprime par les termes préménopause et ménopause.
Ces qualificatifs parlent à toutes, et cependant sont peu précis et ne rendent pas complètement compte d’une certaine réalité.

Revenons sur la physiologie :
La femme, note un changement dans la régularité de ses cycles, correspondant à une chute brutale de la progestérone.
Puis les règles cessent.
Cependant, pendant au moins une année, voire deux pour certaines, une activité hormonale perdure.
Pour un grand nombre de femmes, les règles n’apparaîtront plus du tout. La ménopause n’est cependant pas complètement installée.
Chez d’autres, suite à une première année sans menstrues, de légers soubresauts témoins d’une faible activité hormonale, et perçus plus distinctement, peuvent encore se manifester quelques mois.

Si le terme ménopause signifie littéralement arrêt des règles, les approches physiologiques modernes apportent davantage de subtilités.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a donc élargi le vocabulaire en ajoutant une autre dénomination, même si cette dernière n’est pas encore intégrée par nos contemporains.
Ainsi si classiquement on parle de :
Préménopause, puis ménopause
Il est plus logique de suivre la proposition de l’OMS.
Pour cette institution, la périménopause est « la période précédant la ménopause, lorsque apparaissent des signes cliniques et/ou biologiques annonçant la ménopause et se poursuivant un an au-delà de l’arrêt des menstruations. »
La périménopause englobe donc la préménopause et une, voire deux années après l’arrêt des règles.
Suit la ménopause.

Suite à un entretien avec le Docteur OVIEDO-MASSET, gynécologue à St Mandé.

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PREMENOPAUSE ET MENOPAUSE

La période d’activité génitale de la femme, est rythmée par une succession de cycles durant lesquels 2 types d’hormones ; les oestrogènes et la progestérone, sont secrétées, à des taux variables selon le moment du cycle.
Cette période d’activité génitale dure plusieurs décennies.

Puis une période d’instabilité hormonale suit.
La femme entre en préménopause.

Quelles sont les manifestations de la préménopause ?
Les cycles menstruels commencent à être moins réguliers. Les règles peuvent être plus abondantes. Certains symptômes, irritabilité, troubles du sommeil, prise de poids, baisse de la libido, perturbent la femme. Apparaissent les bouffées de chaleur, très invalidantes et particulièrement prononcées sous l’effet d’un stress.

Que se passe-t-il au point de vue hormonal ?
Les oestrogènes continuent à être secrétées normalement. En revanche, il y a une chute importante de la production de progestérone.
Cette période peut durer quelques mois, voire quelques années.

Les règles, nous l’avons vu, s’espacent, puis finissent par disparaître complètement.

Puis lorsque les règles ont cessé complètement depuis au moins une année,
La femme entre en ménopause

Quelles sont les manifestations de la ménopause ?
Les inconforts comme, l’irritabilité, les troubles du sommeil, la prise de poids, les bouffées de chaleur, continuent à se manifester.
La peau devient moins souple et tend à se rider.
Les muqueuses deviennent plus sèches. Le risque de cystite augmente.

Que se passe-t-il au point de vue hormonal ?
La production des oestrogènes cesse.
Donc la femme ne fabrique plus ni oestrogènes, ni progestérone.

Conclusion :
D’un point de vue hormonal, la vie de la femme se divise en plusieurs périodes :

  • La période d’activité génitale : la femme secrète deux types d’hormones : les oestrogènes et la progestérone.
  • La préménopause : la femme continue à secréter des oestrogènes, mais il y a une chute de la production de progestérone.
  • La ménopause : la femme ne produit ni oestrogènes, ni progestérone. Les règles ont totalement cessé depuis au moins une année.

La préménopause et la ménopause sont donc deux étapes différentes qu’il faut bien dissocier.